\n Ces nouvelles marques préemptent des territoires de communication du « craft », à la dégustation-découverte et au social : plus d’authenticité, plus de goût, plus d’histoire. Les grandes marques se trouvent ainsi reléguées dans leurs campagnes publicitaires à capitaliser sur un ancrage local (cf le slogan « trouver la danoise » de la marque Carlsberg, sur fond de maisons traditionnelles colorées ou de fjords enneigés), rivalisent de traits d’humour pour retenir l’attention des consommateurs ou insistent sur le caractère rafraîchissant de la boisson (cf les pintes de bières grimées en sorbets dans les campagnes Heineken). \n Un industriel s’inquiète de risques encourus par ses employés sur les chantiers.\n \n Comment prévoir et détecter les risques sur les chantiers ?\n \n Création d’une caméra -hardware- permettant de prendre des images du chantier à une fréquence donnée puis de les envoyer automatiquement vers une plateforme automatisée comprenant un algorithme de reconnaissance d’image permettant de détecter le respect des distances de sécurité, le port du casque, la présence d’intrus sur le chantier, la détection de départ d’incendies, etc.\n \n Développement d’une caméra 3G solaire de capture d’image.\n \n Développement d’un algorithme de reconnaissance d’image pour analyser les distances de sécurité, le port du casque, la présence d’intrus et les départs de feu.\n \n Développement d’une plateforme d’automatisation des tâches et d’analyse de données\n \n - L’augmentation des données générées par les Smartphone accélère plus rapidement que l’évolution de la capacité de stockage d’un device pour un prix donné (en dépit de la fameuse loi de Moore).\n \n Comment s’émanciper de la limite de stockage physique des smartphones ?\n \n La clé du problème tient à l’absence d’UX générale du cloud. Nous avons développé Moore, une technologie de «smart caching» qui établit un pont intelligent entre le stockage physique d’un terminal et un stockage nuagique, à l’aide d’algorithmes de compression et de machine learning. Cette architecture intégrée à un OS crée pour l’utilisateur une expérience de stockage illimité sur un terminal, y compris hors ligne.\n \n Aujourd’hui, pour connecter plusieurs sorties sonores à une même source deux solutions sont possibles :\n \n Comment créer une expérience multiroom sonore en reliant différentes enceintes dans un même espace ?\n \n Création un protocole de communication entre des enceintes de différentes marques afin de créer une expérience multiroom et synchroniser ces dernières.\n \n L’idée générale est de ré-imaginer une expérience d’écoute audio multiroom, de manière ouverte (non liée à une marque d’équipement audio) et légère (pas de mise en place\n compliquée, de câblages ou de besoin pour des répéteurs). Ainsi, plutôt que de recréer un nouveau système propriétaire, des modules viennent se greffer aux enceintes de différentes marques. On peut diffuser en un clic un son sur un ensemble de téléphones, ordinateurs et enceintes à l’aide d’un module- de manière synchronisée.\n
\n Seed-Up a fait le choix de sortir de ces schémas publicitaires aux codes quelque peu éculés et de centrer son approche sur l’évolution des modes de consommation. L’enjeu étant de redynamiser l’image de la marque Kronenbourg en proposant un nouvel usage, d’enrichir la plateforme de marque centrée sur la découverte du produit “au delà des apparences” et de faire découvrir la gamme 1664 dans son intégralité (8 produits différents).\n\n\n La réflexion s’est alors focalisée sur l’expérience de la consommation de bière et sur les images qui lui sont associées. Si pour beaucoup bière rime surtout avec « amis », « concerts », ou encore « soirées d’été », cela est aussi inévitablement associé à de l’attente pour commander, être servi et payer et cela, au détriment de la convivialité et du plaisir de la dégustation.
\n Le projet a donc été de penser un dispositif permettant de fluidifier ces échanges - en supprimant les temps d’attente – pouvant être déployé facilement dans des endroits où la bière est régulièrement consommée et en grande quantité. Un écosystème de paiement a ainsi été développé, grâce à des puces NFC, comprenant : un verre jetable, rechargeable en crédits par téléphone, et une tireuse connectée. Une application web a été mise en place afin de visualiser la diminution des crédits alloués au verre, au fur et à mesure de son remplissage par la tireuse. Ce système permet ainsi de s'affranchir des standards de la pinte ou de la demi-pinte en créant une nouvelle forme de paiement à la consommation réelle.
\n Enfin, les tireuses ont été pensées comme comportant plusieurs becs pour les différentes bières de la gamme (1664 blanche, gold, rosée, etc) : le client fait ainsi l’expérience de se servir lui même de la tireuse et peut procéder à une dégustation.
\n Le consommateur choisit ainsi sa bière, se sert et règle son addition seul sans intervention d’aucun intermédiaire.
\n Une fois l’événement terminé, le verre est jeté dans une poubelle spéciale qui désactive les crédits payés non utilisés.\n\n\n Ludique et gain de temps réel, le service proposé permet de redécouvrir l’univers de la marque de façon non intrusive aux yeux du consommateur\n\n\n\n\n III/ HUAWEI MATE 9 : modélisation de performances techniques\n\n\n\n L’entreprise de télécommunication Huawei a contacté différentes agences pour le lancement de son nouveau Smartphone : le Huawei mate 9.\n\n\n L’équipementier chinois cherchait alors une stratégie de communication inédite pour promouvoir son dernier produit dans un marché de la téléphonie saturé.\n\n\n Doté d’une capacité de batterie de plusieurs jours, le téléphone proposait alors la meilleure offre du marché en terme d’autonomie.
\n Le parti pris a donc été d’axer la campagne publicitaire sur cet avantage compétitif et de le mettre en scène. Tout le travail de Seed-Up a ainsi consisté en une réflexion autour d’un objet, spécialement conçu pour la campagne, permettant au consommateur de mieux appréhender les performances du téléphone : les capacités techniques deviennent ainsi tangibles et donc désirables.
\n C’est ainsi qu’un câble multi-sorties permettant de recharger 4 téléphones simultanément à partir du Mate 9 a été élaboré. L’image véhiculée est alors celle d’un téléphone “survivant”, voire “infirmier”, sur lequel le consommateur peut compter quand toutes les batteries des smartphones alentours périclites inexorablement. La métaphore du transfert d’énergie, ou du don de sang, a été filée dans la vidéo mettant en scène le prototype réalisé par notre équipe, puis dans le choix du nom de la campagne : le Don du Pourcent (Agence Buzzman).\n\n","date":"2016","nature":"Mission client, Hardware","phases":"Idéation, Prototype, industrialisation","techno":"impression 3D de contre-moules, réalisation de moules en silicones puis de coulées en polyuréthane","stl":"/3d#huawei.stl"},{"id":2,"client":"{NDA}","type":"CLIENT","title":"Comment prévoir et détecter les risques sur les chantiers ?","imagePreview":"/common/images/projects/total/00_Total_preview.jpg","imageTop":"/common/images/projects/total/01_Total_haut.png","bottomMedia":["/common/images/projects/total/02_Total_bas.jpg","/common/images/projects/total/03_Total_bas_02.jpg"],"context":"\n\n \n contexte client\n \n
\n Ce système de valeur au sein d’une entreprise est tout d’abord contraint par l’architecture normative du pays d’origine de l’entreprise, ou de son implantation. Ainsi, les entreprises françaises évoluant dans un système normatif mixte, composé d’une addition de législation nationale et de législation supranationale européenne, se voient contraintes de mettre en place des politiques poussées de prévention des risques. Tandis qu’aux Etats-Unis, la conception libérale du marché et la réticence culturelle vis à vis de l’édiction de normes par le pouvoir central, induit une tolérance au risque plus souple donc moins encadrée.
\n Mais le principe de responsabilité existe aussi à une autre échelle : celle de l’entreprise. En effet, entremêlé ou même confondu avec les calculs relatifs à l’image de marque, un calcul nettement plus subjectif s’opère : celui de la tolérance d’exposition au risque pour les salariés ou les tiers.
\n Ainsi, le ruissellement de la culture du pays d’origine de l’entreprise, de son système normatif, de la gestion de son image publique, mais aussi de la psychologie de ses dirigeants entrera en compte dans l’appréhension sécuritaire d’une entreprise. Dans le milieu ferroviaire par exemple, deux conceptions du risque diamétralement opposées peuvent ainsi être confrontées. En France, la sécurité associée est de niveau SIL4 : toute défaillance du système doit ainsi l'entraîner dans un niveau de repli le plus sécuritaire possible, de manière à empêcher -ou du moins à limiter- l'atteinte à l'intégrité physique des personnes. Aux Etats-Unis, les normes ferroviaires sont moins drastiques, et l’occurrence des incidents est intégrée aux assurances. Ce qui n’empêche pas certaines entreprises comme MV Transportation d’avoir des standards de qualité et de contrôle plus élevés que les normes européennes.\n\n\n La seconde inconnue du calcul est la potentialité d’une défaillance.\n Si les origines peuvent être multiples, les défaillances sont souvent humaines : une étude de 1982 Feggetter, A. J., 'A method for investigating human factor aspects of aircraft accidents and incidents', Ergonomics, Vol. 25, quantifie à 70% le nombre d'accidents d'avion attribué à l'erreur humaine. En effet, il est usuel de retenir un taux de défaillance de 10-6 et un temps de réaction à la seconde pour un acteur humain là ou certains équipements et logiciels spécialisés ont des standards de défaillance de l'ordre de 10-9 et un temps exigé de réaction à la milliseconde.\n\n\n\n II/ L’intervention de la technologie au service de la prévention du risque\n\n\n Dans un souci de précaution et de prévention des défaillances, s’interroger sur des mécanismes de limitation de la défaillance humaine est donc un impératif moral découlant du principe de responsabilité. Si la peur contemporaine du remplacement illusoire du travail des hommes par des machines tend à diaboliser -à tort- toute réflexion sur le sujet, la surveillance et le soutien des activités humaines par l’intervention technologique semble pertinente au regard de l’exigence supérieure conférée aux machines (10-9).\n\n\n En l'occurrence, le BTP est le secteur d’activité le plus accidentogène. Selon une étude de la Cnam-TS, entre 2010 et 2014, le secteur du BTP a été à l’origine de 1008 décès (accidents du travail, maladies professionnelles, accidents de trajet). Or si ce chiffre semble en diminution ces dernières années, cela ne semble être qu’une conséquence de la baisse du nombre de salariés de ce secteur et non à une réelle réflexion autour de politiques de prévention.\n\n\nDans ce secteur l’intervention humaine reste encore très importante, il faut donc penser un système efficace, capable de prévenir les risques ; un système dédié à la surveillance qui, sans faire preuve d'adaptation au sens strict du terme, soit capable d'un apprentissage afin de cerner les situations à risque sur une zone donnée sans perturber l’intervention humaine.\n\n Une solution de caméras indépendantes en énergie a ainsi été déployée sur proposition de Seed-Up. Reliées au réseau GSM et prenant des photos à intervalle de temps régulier, elles transmettent ces dernières à un algorithme de reconnaissance d’images capable de détecter les situations à risque : départ de feu, absence de port de casque, respect des distances de sécurité… En cas de détection, la situation est envoyée à un opérateur, qui ne traite alors pas une surveillance continue, mais une analyse approfondie et ponctuelle dans un but de prévention des risques.\n\n\n L'alliance d'un moyen technique à une analyse humaine permet de s'inclure dans une dynamique déjà existante de prévention. Utiliser l'intelligence artificielle et l'apprentissage pour un produit d’assistance permet de démystifier le rôle de cette technologie et de l'inclure dans un processus ou l'homme est central, plutôt que d'en faire un élément extérieur et perçu comme négatif.\n\n","date":"2017","phases":"Idéation, Prototype, Tests, Déploiement","nature":"Mission client, Hardware","techno":"Reconnaissance d’image, 3g","stl":"/3d#total.stl"},{"id":4,"client":"{MOORE}","type":"PROJET SEEDUP","title":"Comment s’émanciper de la limite de stockage physique des smartphones ?","imagePreview":"/common/images/projects/moore/00_Moore_preview.jpg","imageTop":"/common/images/projects/moore/01_Moore_haut.png","bottomMedia":["/common/images/projects/moore/moore.gif"],"context":"\n\n \n contexte\n \n
\n
\n - Malgré la généralisation du streaming (de Spotify à Google Photos), d’applications de “nettoyage”, de services de stockage cloud, ou encore de solutions mixtes comme iCloud, la multiplication de données conduit inévitablement au message : “stockage saturé”.\n
\n
\n La situation est paradoxale puisque le stockage Cloud permet un stockage potentiellement illimité et que l’accès au réseau des terminaux est quasi-totale.\n
\n Cette architecture intégrée à un OS crée pour l’utilisateur une expérience de stockage illimité sur un terminal, y compris hors ligne et fait disparaitre le message d’erreur “stockage plein”.\n MOORE est avant tout un exercice de redéfinition de l’UX du Cloud. La solution reprend l’abstraction existante du filesystem (les fichiers sont toujours à leur emplacement d’origine), afin de proposer une ergonomie inédite où l’IA gère l’organisation du stockage à la place de l’utilisateur par apprentissage dynamique.\n\n\n Ainsi, cette nouvelle UX du Cloud est l’occasion de remettre à plat les stratégies héritées d’un monde numérique qui, s’il est en perpétuelle mutation, n’en conserve pas moins certains stigmates d’un autre âge.\n\n","date":"2017","phases":"\n\t\t
Mars 2017-Février 2018 : Développement du concept\n\t\t
Mars 2018 : MWC Barcelone, présentation de l'application\n\t\t
Avril-Décembre 2018 : Construction de la communauté MOORE\n\t\t
Début 2019 : Intégration chez un constructeur
\n\t\t","nature":"Projet Interne","techno":"Algorithmes de notation des fichiers en fonction de leur utilisation et de leur taille.\n\t\tTechniques d'optimisation de streaming de fichiers pour gérer le transfert des fichiers entre le stockage principal et le cloud.\n\t\tMachine learning pour anticiper les demandes de fichiers de la part de l'utilisateur."},{"id":6,"client":"{BE THE SOUND}","type":"PROJET SEEDUP","title":"Comment créer une expérience multiroom sonore en reliant différentes enceintes dans un même espace ?","imagePreview":"/common/images/projects/bethesound/00_Bethesound_preview.png","imageTop":"/common/images/projects/bethesound/01_Bethesound_haut.png","bottomMedia":["/common/images/projects/bethesound/02_Bethesound_bas.jpg"],"context":"\n\n \n contexte\n \n
\n - Le filaire, peu pratique\n
\n - Avoir un système propriétaire multiroom (Sonos, Bose…)\n
\n
\n En effet, les technologies de communication sans fils souffrent d’un réel manque d’interopérabilité. Le bluetooth ou Airplay 1 ne proposent que des connections en 1:1, les technologies multiroom sont propriétaires, et dans l’éventualité de le diffusion d’une norme comme Airplay 2 (ou mieux une norme open-source) tous les fabricants devraient se rendre compatibles avec celle-ci, et les anciennes enceintes resteraient inutilisées.\n
\n
\n Il n’y a donc aucune solution de diffusion sonore sans fil sur des enceintes de marques différentes, aucune possibilité de créer une expérience multiroom en combinant des enceintes existantes qu’elles soient récentes ou anciennes (dont certaines sont de qualité bien supérieure aux enceintes sans fil actuelles).\n \n\n Mais la corrélation du succès économique d’une invention et son dépôt de brevet n’est pas totalement prouvée. On peut ainsi penser au Velcro, breveté en 1958, expiré en 1978, qui a finalement connu son succès dans les années 1980, par la compagnie Velcro elle-même.\n\n\n Certaines entreprises peuvent aussi faire le choix de ne pas entrer dans ce système de dépôt de brevet pour garder le secret de leur invention. Il s’agit notamment de la stratégie de Coca-cola, qui conserve la recette de son célèbre soda dans le coffre d’une banque d’Atlanta depuis des décennies (la première version de la boisson a elle bien fait l’objet d’un dépôt de brevet mais ce dernier n’est pas exploitable en raison de la présence de coca).\n\n\n Plus loin encore, l’école «négationniste » considère, dans le prolongement des doctrines de Proudhon et Walras, que la propriété intellectuelle constitue une restriction infondée du domaine publique (Daniel Cohen) ; La promotion du logiciel « libre » s’inscrit dans cette tendance. A noter que certaines licences de logiciels sont dites “open source” quand elles respectent les critères précisément établis par l'Open Source Initiative qui induisent la possibilité de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés.\n Des sociétés traditionnelles ont parfois des stratégies proches pour permettre une innovation plus ouverte sur un dispositif. INTEL, un des premiers déposants mondiaux de brevets qui en même temps accorde des licences libres et gratuites sur certaines technologies brevetées (Bus AGP par exemple).\n\n\n\n II/ Interopérabilité VS Système propriétaire\n\n\n La multiplication du dépôt de brevet a ainsi conduit les industriels à envisager les brevets comme un atout offensif ou défensif, une arme légale – voire un outil spéculatif - très éloignés de l’idéal des Lumières.
\n Dans le secteur des TIC, cette situation a même abouti en 2011 à une situation de blocage quand les grandes entreprises High-tech Samsung et Apple sont entrées dans une guerre des brevets. Dans la continuité de cette course à “l'exclusivité intellectuelle”, de multiples acteurs choisissent de développer des solutions propriétaires, mais avec une absence de volonté claire de licencier ou alors la diffusion de licences relativement restrictives (que ce soit Sonos totalement fermé, mais aussi Airplay avec l’absence d’implémentation logicielle cross-platform ou bien chromecast et son intégration complète à chrome).
\n Dans le secteur plus précis de la diffusion d’audio, on observe par exemple une volonté de corréler l’envoi du fichier et le support d’écoute. Cette stratégie de lock-in à pour but de permettre l’implémentation de DRM (gestion numérique des droits).\n\n\n Le vrai antagonisme ne réside donc pas dans l’opposition entre dépôt ou non dépôt de brevet, mais bien entre stratégie de développement de système propriétaire fermé et stratégie d'interopérabilité (qui peut être définie comme la capacité d’un système informatique à fonctionner avec d’autres produits ou systèmes informatiques, sans restriction d’accès ou de mise en œuvre).
\n Dans le secteur de l’audio, le MP3 est un exemple frappant de cette problématique entre choix d'ouverture ou d’un système fermé. Encore aujourd’hui il est difficile de dire qui était le propriétaire des brevets de cette technologie, même si elle a été développée sur les bases des travaux du Fraunhoffer Institute. Des années 90 aux années 2010, son utilisation a été un terrain miné par de multiples procès, malgré la volonté affichée de licencier cette technologie par ses ayant droit putatifs.
Il n’est ainsi pas étonnant que son adoption massive soit liée au partage de fichier entre internautes peu regardant des questions de licence.
\n On peut alors apprécier la démarche de Bluetooth, qui cherche à unifier les connexions entre appareils électroniques en supprimant les liaisons filaires, à la manière de Harald Bluetooth à l’origine de l’unification de plusieurs provinces scandinaves au Xème siècle. Il est par contre notable que son protocole comme son débit le disqualifie pour toute réelle écoute de musique. Soulignons ainsi le travail de la start-up Tempow qui a mis en place un composant logiciel qui modifie l’usage du bluetooth d’un Smartphone et permet une synchronisation d’enceintes de marques différentes en Bluetooth.\n\n\n\n III/ BeTheSound : création d’une norme d’écoute commune\n\n\n C’est finalement le cœur et la problématique du projet BeTheSound : comment assurer dans les années à venir un standard ubiquitaire comme le jack ?\n\n\n BeTheSound permet ainsi de créer une expérience d’écoute multiroom en s’affranchissant des systèmes propriétaires grâce à l’installation de modules sur les enceintes présentes dans un même espace au profit de leur interopérabilité. Le dispositif est alors extrêmement évolutif, assez peu gourmand en bande passante et léger à déployer. Celui-ci repose sur une architecture WIFI meshée et des algorithmes statistiques permettant de synchroniser aux mieux les enceintes.\n\n\n On peut ainsi diffuser en “un clic” un son sur un ensemble de téléphones, ordinateurs et enceintes de manière synchronisée, sacré Jack !\n\n","date":"2015","phases":"Idéation, Prototype, Tests","nature":"Projet interne Seed Up","techno":"Réseau Mesh, WebRTC, Web Audio API","stl":"/3d#bethesound.stl"}];
Nous sommes une Hacker house : une maison-atelier qui réunit des passionnés de nouvelles technologies sous le statut de salarié-entrepreneur.Nous accompagnons de grands groupes comme {THALÈS}-{HUAWEI}-{HERMÈS} dans leur quête de rupture et concevons nos propres inventions telles que {MOORE}, smartphone à stockage illimité et {BeTheSound}, des modules qui permettent la synchronisation sans fil de différentes enceintes.
Ingénieurs, designers et développeurs - ou autres passionnés de nouvelles technologies - nous partageons l’envie d’inventer. Le modèle de société que nous construisons au sein de la Hacker House de Seed-Up, notamment par l’instauration du statut de salarié-entrepreneur, nous permet de faire de cette aspiration notre métier.
Nous répartissons notre temps entre des collaborations avec de grands groupes et des projets développés en interne. Cette diversité nous permet d’éprouver les exigences de l’entreprise, tout en maintenant un lien direct avec le marché, et d'approfondir en parallèle nos expertises techniques et nos intuitions.
A terme, les sociétés-projet développées en interne ont vocation à s’émanciper de Seed Up. Les parts sont alors réparties entre les fondateurs, qui deviennent associés actifs, Seed Up et le PDG nouvellement recruté. La seule règle imposée à la société-projet étant sa capacité à assurer une continuité de salaire.
Total, Thales, Sanofi, Hermès ou encore le CNRS ont fait appel à nous pour des inventions de rupture, et des sociétés-projets tels que MOORE, smartphone à stockage illimité, ont déjà vu le jour sous la grande verrière de notre hangar de Saint-Cloud.
Nous ne revendiquons ni recette magique, ni méthodologie miracle. Diplômés d’écoles renommées ou autodidactes : la hiérarchie découle des expertises de chacun et l’esprit singulier est toujours valorisé.
N’hésitez pas à nous contacter.
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