\n Avec des algorithmes de traitement automatisé du langage naturel (règles sémantiques et apprentissages neuronaux), U31 estime le niveau de difficulté d’un texte donné, identifie les mots/phrases/paragraphes complexes et propose des simplifications applicables en un clic. U31 existe comme éditeur de texte ou comme plugin pour vos outils préférés.\n
\n\n\n","processus":"\n\n","date":"2021","phases":"\n\t\t 2021 : Premier POC, un outil d’identification des difficultés d’un texte\n\t\t 2022 : Editeur V1. Collaboration réussie avec des organisations publiques et privées (Malakoff humanis, Gouvernement, Croix Rouge, etc.)\n\t\t 2023 : Editeur V2, avec plugins pour Microsoft Office, algorithme de suggestions automatiques propriétaire, et fonctionnalités d’accessibilité, d’éco-conception et d’inclusion. Accélération par la Croix Rouge et participation à des évolutions normatives (W3C, ISO, CE, État).\n\n\t\t \n\t\t","nature":"Projet interne Seed Up","techno":"\n\t\t> Brevet FR3110740A1 : \"Customizable transcoding system to adapt medias to users with specific needs\"\n\t\t> Papiers de recherche\n\t\t> \">Reference-less estimation of Text Comprehension Difficulty\"\n\t\t> \"An automated tool with human supervision to adapt difficult texts into Plain Language\" \n","previewText":"Outil de simplification automatique du français"},{"id":8,"isClient":false,"client":"{NOTABLY}","type":"PROJET SEEDUP","title":"Comment combiner la simplicité et la liberté de l'écriture manuscrite avec les fonctionnalités dynamiques de la technologie numérique ?","imagePreview":"/common/images/projects/stylo/stylo.jpg","context":"\n\n \n contexte\n \n
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57 % des adultes font encore le choix de l’agenda papier pour inscrire leurs rendez-vous, adresses et coordonnées. Pourtant les outils numériques sont partout.
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Avantages du support papier :
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Intuitif et gratuit (fonctionnement personnalisé par nature)
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Pas de contraintes techniques (piles, obsolescence, etc.)
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Vue d'ensemble et organisation manuelle
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Facilite la mémorisation
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Avantages du support numérique :
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Notifications et rappels
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Partage et collaboration
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Fonctions de recherche
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Auto-correction et autres suggestions
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Interactions avec d'autres outils
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\n\n\n\n \n \n problématique\n \n
\n Comment combiner la simplicité et la liberté de l'écriture manuscrite avec les fonctionnalités dynamiques de la technologie numérique ? \n
\n \n invention\n \n
\n Les deux idées principales de notre application : \n \n
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Transcription en direct de notes manuscrites en notes dactylographiées. Persistance (la version manuscrite a une version numérique avec une version dactylographiée et une version manuscrite). \n dactylographiée et manuscrite)\n
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Actions augmentées : créer des documents/dossiers, envoyer des mails, fixer des rendez-vous ... avec un simple glyphe.\n
L'Écriture Manuscrite vs. l'Écriture Tapuscrite: Explorer leurs Apports Uniques
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À l'ère du numérique, la prévalence de l'écriture tapuscrite sur ordinateurs et appareils mobiles a largement dépassé celle de l'écriture manuscrite traditionnelle. Toutefois, de récentes études et observations pédagogiques révèlent que l'écriture manuscrite offre des bénéfices uniques, essentiels au développement cognitif, à la mémorisation et à la créativité. Cet article explore les apports spécifiques de l'écriture manuscrite par rapport à l'écriture tapuscrite, soulignant l'importance de préserver cette compétence dans un monde de plus en plus orienté vers le numérique.
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Favorise la Mémorisation et la Compréhension
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Des recherches ont démontré que l'acte d'écrire à la main active des zones du cerveau associées à l'apprentissage et à la mémoire de manière plus significative que la frappe. Lorsqu'on écrit manuellement, le processus de formation de chaque lettre implique une coordination motrice fine et une réflexion profonde sur le contenu, ce qui renforce la mémorisation du matériel écrit. Les étudiants prenant des notes à la main tendent à mieux comprendre et retenir l'information que ceux qui utilisent un clavier.
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Améliore la Coordination Œil-Main et les Compétences Motrices
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L'écriture manuscrite est une activité qui exige une coordination précise entre la vue, les mouvements de la main et les processus cognitifs, contribuant ainsi à développer la motricité fine. Chez les enfants, le dessin des lettres et des chiffres à la main joue un rôle crucial dans l'acquisition de ces compétences motrices, essentielles à de nombreuses autres tâches quotidiennes.
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Stimule la Créativité
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L'écriture manuscrite peut également servir de catalyseur pour la créativité. La liberté de mouvement offerte par le stylo et le papier encourage une expression plus personnelle et originale. De plus, le rythme plus lent de l'écriture manuscrite laisse le temps à l'esprit de vagabonder et de générer des idées nouvelles, favorisant ainsi un processus créatif plus riche.
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Aide à la Concentration
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Dans un monde où les distractions numériques sont omniprésentes, l'écriture manuscrite offre un refuge. L'acte d'écrire à la main nécessite une concentration et une attention particulières, réduisant ainsi les interruptions et favorisant une immersion plus profonde dans la tâche à accomplir. Ce focus accru peut améliorer la qualité du travail produit et renforcer les capacités d'attention sur le long terme.
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Supporte le Développement Personnel
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L'écriture manuscrite, surtout lorsqu'il s'agit de tenir un journal ou de rédiger des lettres, offre une dimension personnelle et émotionnelle que l'écriture tapuscrite ne peut tout à fait reproduire. La trace unique de chaque personne sur le papier peut aider à l'expression des sentiments, à la réflexion personnelle et à la construction de l'identité.
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Conclusion
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Bien que l'écriture tapuscrite présente des avantages indéniables en termes de vitesse, de commodité et d'accessibilité, les bénéfices de l'écriture manuscrite sur le développement cognitif, la mémorisation, la créativité et le bien-être émotionnel soulignent l'importance de maintenir cette compétence vivante. Encourager un équilibre entre écriture manuscrite et tapuscrite peut offrir le meilleur des deux mondes, exploitant les avantages uniques de chaque méthode pour enrichir l'expérience d'apprentissage et la croissance personnelle.
\n","date":"2023","phases":"\n\t\t 2023 : Prototype fonctionnel\n\t\t 2024 : Discussion avec des grandes marques de stylo\n\t\t \n\t\t","nature":"Projet interne Seed Up","techno":"\n\t\tHCR (reconnaissance de l'écriture manuscrite), Optical Pen Tracking\n","previewText":"Un stylo augmenté"},{"id":2,"isClient":true,"client":"PROJET CLIENT","type":"PROJET CLIENT","title":"Comment prévoir et détecter les risques sur les chantiers ?","imagePreview":"/common/images/projects/total/00_Total_preview.jpg","bottomMedia":["/common/images/projects/total/02_Total_bas.jpg","/common/images/projects/total/03_Total_bas_02.jpg"],"context":"\n\n \n contexte client\n \n
\n Un industriel s’inquiète de risques encourus par ses employés sur les chantiers.\n
\n \n problématique\n \n
\n Comment prévoir et détecter les risques sur les chantiers ?\n
\n \n invention\n \n
\n Création d’une caméra -hardware- permettant de prendre des images du chantier à une fréquence donnée puis de les envoyer automatiquement vers une plateforme automatisée comprenant un algorithme de reconnaissance d’image permettant de détecter le respect des distances de sécurité, le port du casque, la présence d’intrus sur le chantier, la détection de départ d’incendies, etc.\n
\n
\n 01/HARDWARE \n
\n Développement d’une caméra 3G solaire de capture d’image.\n
\n 02/SOFTWARE \n
\n Développement d’un algorithme de reconnaissance d’image pour analyser les distances de sécurité, le port du casque, la présence d’intrus et les départs de feu.\n
\n 03/PLATEFORME \n
\n Développement d’une plateforme d’automatisation des tâches et d’analyse de données\n
\n
\n\n","processus":"\n\n La sécurité désigne l'ensemble des moyens humains, organisationnels et techniques réunis pour faire face aux risques encourus par les personnes et les biens. Derrière la notion de sécurité se trouve toute une construction normative. L'aspect le plus répandu est le SIL, pour Safety Integrity Level, qui indique l'objectif quantifié à atteindre par la commande relative à la sécurité. Cette norme intègre les règles de sécurité, les spécifications techniques et la formation du personnel en tenant compte du cycle de vie appliqué à la sécurité. A chaque niveau de SIL est associé la probabilité d'une défaillance dangereuse par heure : de 10-6 pour le SIL1 à 10-9 pour le SIL4.\n\n\n\n I/ La gestion des risques : une question de calculs\n\n\n L’appréhension de la sécurité au sein d’une entreprise découle principalement de calculs financiers intégrants le coût supposé de la survenance d’un risque, l'occurrence de faits à l’origine d’un dommage et le coût de la prévention. Si certains risques sont prévenus par la mise en place de moyens internes à l’entreprise via une politique de prévention, d’autres sont simplement assurés ; ce choix dépend aussi bien de la tolérance d’exposition au risque, que d’éléments statistiques sur les défaillances.\n\n\n Deux inconnues entrent ainsi dans l’équation : la tolérance d’exposition au risque et les potentielles défaillances.\n\n\n La première, la tolérance d’exposition au risque par la société, se joue à une échelle sociétale comme individuelle. Cette valeur contingente peut être rapprochée du principe de responsabilité (développé par le philosophe allemand Hans Jonas en 1979), qui induit de toujours réfléchir à la sécurité en fonction du scénario le plus pessimiste possible, lors de l’utilisation d’une nouvelle technologie. \n Ce système de valeur au sein d’une entreprise est tout d’abord contraint par l’architecture normative du pays d’origine de l’entreprise, ou de son implantation. Ainsi, les entreprises françaises évoluant dans un système normatif mixte, composé d’une addition de législation nationale et de législation supranationale européenne, se voient contraintes de mettre en place des politiques poussées de prévention des risques. Tandis qu’aux Etats-Unis, la conception libérale du marché et la réticence culturelle vis à vis de l’édiction de normes par le pouvoir central, induit une tolérance au risque plus souple donc moins encadrée. \n Mais le principe de responsabilité existe aussi à une autre échelle : celle de l’entreprise. En effet, entremêlé ou même confondu avec les calculs relatifs à l’image de marque, un calcul nettement plus subjectif s’opère : celui de la tolérance d’exposition au risque pour les salariés ou les tiers. \n Ainsi, le ruissellement de la culture du pays d’origine de l’entreprise, de son système normatif, de la gestion de son image publique, mais aussi de la psychologie de ses dirigeants entrera en compte dans l’appréhension sécuritaire d’une entreprise. Dans le milieu ferroviaire par exemple, deux conceptions du risque diamétralement opposées peuvent ainsi être confrontées. En France, la sécurité associée est de niveau SIL4 : toute défaillance du système doit ainsi l'entraîner dans un niveau de repli le plus sécuritaire possible, de manière à empêcher -ou du moins à limiter- l'atteinte à l'intégrité physique des personnes. Aux Etats-Unis, les normes ferroviaires sont moins drastiques, et l’occurrence des incidents est intégrée aux assurances. Ce qui n’empêche pas certaines entreprises comme MV Transportation d’avoir des standards de qualité et de contrôle plus élevés que les normes européennes.\n\n\n La seconde inconnue du calcul est la potentialité d’une défaillance.\n Si les origines peuvent être multiples, les défaillances sont souvent humaines : une étude de 1982 Feggetter, A. J., 'A method for investigating human factor aspects of aircraft accidents and incidents', Ergonomics, Vol. 25, quantifie à 70% le nombre d'accidents d'avion attribué à l'erreur humaine. En effet, il est usuel de retenir un taux de défaillance de 10-6 et un temps de réaction à la seconde pour un acteur humain là ou certains équipements et logiciels spécialisés ont des standards de défaillance de l'ordre de 10-9 et un temps exigé de réaction à la milliseconde.\n\n\n\n II/ L’intervention de la technologie au service de la prévention du risque\n\n\n Dans un souci de précaution et de prévention des défaillances, s’interroger sur des mécanismes de limitation de la défaillance humaine est donc un impératif moral découlant du principe de responsabilité. Si la peur contemporaine du remplacement illusoire du travail des hommes par des machines tend à diaboliser -à tort- toute réflexion sur le sujet, la surveillance et le soutien des activités humaines par l’intervention technologique semble pertinente au regard de l’exigence supérieure conférée aux machines (10-9).\n\n\n En l'occurrence, le BTP est le secteur d’activité le plus accidentogène. Selon une étude de la Cnam-TS, entre 2010 et 2014, le secteur du BTP a été à l’origine de 1008 décès (accidents du travail, maladies professionnelles, accidents de trajet). Or si ce chiffre semble en diminution ces dernières années, cela ne semble être qu’une conséquence de la baisse du nombre de salariés de ce secteur et non à une réelle réflexion autour de politiques de prévention.\n\n\nDans ce secteur l’intervention humaine reste encore très importante, il faut donc penser un système efficace, capable de prévenir les risques ; un système dédié à la surveillance qui, sans faire preuve d'adaptation au sens strict du terme, soit capable d'un apprentissage afin de cerner les situations à risque sur une zone donnée sans perturber l’intervention humaine.\n\n Une solution de caméras indépendantes en énergie a ainsi été déployée sur proposition de Seed-Up. Reliées au réseau GSM et prenant des photos à intervalle de temps régulier, elles transmettent ces dernières à un algorithme de reconnaissance d’images capable de détecter les situations à risque : départ de feu, absence de port de casque, respect des distances de sécurité… En cas de détection, la situation est envoyée à un opérateur, qui ne traite alors pas une surveillance continue, mais une analyse approfondie et ponctuelle dans un but de prévention des risques.\n\n\n L'alliance d'un moyen technique à une analyse humaine permet de s'inclure dans une dynamique déjà existante de prévention. Utiliser l'intelligence artificielle et l'apprentissage pour un produit d’assistance permet de démystifier le rôle de cette technologie et de l'inclure dans un processus ou l'homme est central, plutôt que d'en faire un élément extérieur et perçu comme négatif.\n\n","date":"2017","phases":"Idéation, Prototype, Tests, Déploiement","nature":"Mission client, Hardware","techno":"hardware (carte de développement ESP32), algorithmes de reconnaissance d’image entrainés spécifiquement (basés sur AutoML/TensorFlow)","previewText":"Caméras autonomes avec reconnaissances d’image"},{"id":4,"isClient":false,"client":"{MOORE}","type":"PROJET SEEDUP","title":"Comment s’émanciper de la limite de stockage physique des devices ?","imagePreview":"/common/images/projects/moore/00_Moore_preview.jpg","bottomMedia":["/common/images/projects/moore/moore.gif"],"context":"\n\n \n contexte\n \n
\n - L’augmentation des données générées par les Smartphone accélère plus rapidement que l’évolution de la capacité de stockage d’un device pour un prix donné (en dépit de la fameuse loi de Moore).\n \n \n - Malgré la généralisation du streaming (de Spotify à Google Photos), d’applications de “nettoyage”, de services de stockage cloud, ou encore de solutions mixtes comme iCloud, la multiplication de données conduit inévitablement au message : “stockage saturé”.\n \n \n La situation est paradoxale puisque le stockage Cloud permet un stockage potentiellement illimité et que l’accès au réseau des terminaux est quasi-totale.\n
\n \n problématique\n \n
\n Comment s’émanciper de la limite de stockage physique des devices ?\n
\n \n invention\n \n
La clé du problème tient à l’absence d’UX générale du cloud. Nous avons développé Moore, une technologie de «smart caching» qui établit un pont intelligent entre le stockage physique d’un terminal et un stockage nuagique, afin de créer pour l’utilisateur une expérience de stockage illimité sur un terminal, y compris hors ligne. Comment ?
\n
\n
Algorithme de machine learning pour anticiper les demandes de documents/médias de la part de l'utilisateur, à partir des métadonnées du fichier et du comportement de l’utilisateur (nom du fichier, date de création, lieu associé, taille, fréquence d’utilisation, position GPS et date des ouvertures du fichier, fichiers ouverts avant/après).
\n
Positionnement au niveau de l’OS pour pouvoir analyser et virtualiser les fichiers dans l’application dans laquelle ils sont (dossier photos, documents, WhatsApp, etc.).
\n
Techniques d'optimisation de streaming de fichiers pour gérer le transfert des fichiers entre le stockage principal et le cloud.
\n
\n\n
\n
> La clé USB Moore :
\n \n
\n Pitch au Consumer Electronic Show (CES Las Vegas) \n
\n\n \n\n","processus":"\n\n L’abstraction est une technique utilisée en informatique qui consiste à simplifier des systèmes complexes par des représentations abstraites afin d’en faciliter l’adoption. Par exemple, dans le cas du Filesystem, qui est un des mécanismes de classement employé pour stocker les données d’un ordinateur, la référence à des éléments physiques communs - un bureau, des dossiers, des fichiers - a permis son appropriation par le grand public. Un terme anglais, le skeuomorphism, définit cette utilisation de références dans une interface informatique. Les images utilisées peuvent provenir d’objets du quotidien (le calepin de l’application Notes sur iOS) ou même d’objets informatiques dont on a symbolisé l’usage (c’est le cas pour la disquette, dont la représentation est devenue le symbole de la fonction “sauvegarder”).\n\n\n\n Cependant, cet exercice de simplification, en particulier lorsqu’il résulte d’une abstraction créée autour d’un usage, peut parfois figer ce dernier au détriment de l’évolution de son ergonomie. Citons l’exemple des dispositions des touches des claviers « AZERTY » ou « QWERTY “, qui permettaient de limiter les cas d’enchevêtrement de tiges mécaniques voisines sur les machines à écrire en alternant les lettres en fonction de leur fréquence d’emploi. Cette disposition des lettres a perduré sur les claviers d’ordinateur alors que l’évolution du système ne justifiait plus cette disposition : le clavier AZERTY est devenu lui-même une abstraction. Le clavier bépo a bien été élaboré pour améliorer le confort de l’utilisateur en prenant spécifiquement en compte l’utilisation des lettres et la position de repos des mains, mais il n’a jamais été adopté.\n\n\n\n L’expérience utilisateur (UX) n’est donc pas faite exclusivement d’analyses rationnelles sur l’ergonomie, elle est aussi tributaire d’un imaginaire collectif fait d’usages et de standards hérités du passé. Ainsi, en informatique, une bonne UX se doit de proposer une ergonomie efficace, mais aussi d’en assurer l’appréhension par les utilisateurs en créant\n une abstraction efficace favorisant la transition douce entre des référentiels connus et le nouvel usage proposé.\n\n\n\n I/ Le Cloud, une abstraction à repenser\n\n\n La référence au “nuage” a été utilisée par les ingénieurs dès les débuts d’Internet pour désigner l’ensemble d’un réseau naissant réservé à un public d’experts et dont l’appréhension par un public profane nécessitait une simplification. Avec la généralisation d’Internet, le terme s’est ensuite focalisé sur la désignation du système de stockage distant dont la faible utilisation ne justifiait toujours pas un travail de design plus poussé. Ce n’est qu’à partir de 2006 lors de la sortie du service Elastic Compute Cloud d’Amazon et de sa diffusion massive, que le grand public a découvert, puis a commencé à s’approprier le terme « Cloud ». L’expansion de son usage s’explique d’abord par de nouveaux besoins de stockage (numérisation des outils de communication, augmentation de la qualité des fichiers, nouveaux usages, etc.) corrélatifs à notre production exponentielle de données : 90% des datas existantes en 2016 ont été créées les deux années précédentes et on estime à 2,5 trillions d’octets le volume de données généré par an. L’utilisation publique du Cloud a aussi été rendue possible par la diminution du prix de la bande passante permettant le transfert de données à distance, et les économies d’échelle entraînées par la spécialisation d’ordinateurs de stockage. Mais si cette production de données augmente très rapidement, les capacités de stockage -en dépit de la loi de Moore- n’arrivent pas à suivre la même accélération : c’est l’effet ciseaux.\n\n\n Si ces différents facteurs expliquent l’évolution de l’utilisation du Cloud, l’image de nuage qui lui est toujours associée dessert l'appréhension de sa logique réelle. En effet, le Cloud est un stockage physique (mais non local), et non une dématérialisation floue dans le nuage (“Où sont mes données”? Dans les nuages !).\n\n\n A cet échec d’abstraction correspond une pauvreté de l’UX proposée sur ordinateur, et encore plus sur Smartphone. Le « Cloud » est ce dossier poubelle accessible en ligne dans lequel on dépose pêle-mêle ses divers documents. Ainsi, malgré la généralisation du streaming (de Spotify à Google Photos), d’applications de “nettoyage”, de services de stockage Cloud, ou encore de solutions mixtes comme iCloud, la multiplication des données conduit inévitablement au message : “stockage saturé”. Situation paradoxale quand le Cloud permet un stockage potentiellement illimité et que l’accès au réseau des terminaux est quasi-totale.\n\n\n\n II/ MOORE : le Cloud optimisé\n\n\n Partant de ces différents constats, l’équipe de MOORE a réfléchi au développement d’un moyen de gestion de la mémoire qui soit non-invasif et qui sache dans le même temps anticiper les besoins de l’utilisateur pour permettre une gestion optimale du stockage.\n\n\n MOORE est ainsi une technologie de “smart caching” qui établit un pont intelligent entre le stockage physique d’un terminal et un stockage nuagique, à l’aide d’algorithmes de compression et de machine learning.\n\n\n Nous analysons les schémas d’accès d’un utilisateur aux fichiers sur son terminal. Les plus à même d’être utilisés sont stockés en version originale sur la mémoire physique, les autres sont redimensionnés dynamiquement (images, vidéos et médias des applications adaptées à la taille de l‘écran, musiques ré-échantillonnées, applications virtualisées…) et leur version originale reste stockée dans le Cloud, disponible au clic. \n Cette architecture intégrée à un OS crée pour l’utilisateur une expérience de stockage illimité sur un terminal, y compris hors ligne et fait disparaitre le message d’erreur “stockage plein”.\n MOORE est avant tout un exercice de redéfinition de l’UX du Cloud. La solution reprend l’abstraction existante du filesystem (les fichiers sont toujours à leur emplacement d’origine), afin de proposer une ergonomie inédite où l’IA gère l’organisation du stockage à la place de l’utilisateur par apprentissage dynamique.\n\n\n Ainsi, cette nouvelle UX du Cloud est l’occasion de remettre à plat les stratégies héritées d’un monde numérique qui, s’il est en perpétuelle mutation, n’en conserve pas moins certains stigmates d’un autre âge.\n\n","date":"2017","phases":"\n\t\t 2017 : développement de la clé USB Moore (Top 10 des inventions du CES selon Der Spiegel)\n\t\t 2018 : développement de Moore sur mobile (Y Combinator et Mobile World Congress)\n\t\t 2019 : partenariats stratégiques et intégration chez les constructeurs (KaiOS, Orange, TCL, Crosscall, etc.)\n\t\t 2020 : revente de la société\n\t\t","nature":"Projet Interne","techno":"Hardware (clé USB) : \n\t\t > OS/KERNEL (smartphone)\n\t\t > Cloud et algorithmes de compression dynamique \n\t\t > Machine learning\n\t\t > Brevet WO2018154197A1 : File system management method, equipment and system\n\t\t","previewText":"Un stockage illimité pour vos devices"},{"id":6,"isClient":false,"client":"{BE THE SOUND}","type":"PROJET SEEDUP","title":"Comment créer une expérience multiroom sonore en reliant différentes enceintes dans un même espace ?","imagePreview":"/common/images/projects/bethesound/00_Bethesound_preview.png","bottomMedia":["/common/images/projects/bethesound/Audiocast.jpg"],"context":"\n\n \n contexte\n \n
\n Aujourd’hui, pour connecter plusieurs sorties sonores à une même source deux solutions sont possibles :\n \n - Le filaire, peu pratique\n \n - Avoir un système propriétaire multiroom (Sonos, Bose…)\n \n \n En effet, les technologies de communication sans fils souffrent d’un réel manque d’interopérabilité. Le bluetooth ou Airplay 1 ne proposent que des connections en 1:1, les technologies multiroom sont propriétaires, et dans l’éventualité de le diffusion d’une norme comme Airplay 2 (ou mieux une norme open-source) tous les fabricants devraient se rendre compatibles avec celle-ci, et les anciennes enceintes resteraient inutilisées.\n \n \n Il n’y a donc aucune solution de diffusion sonore sans fil sur des enceintes de marques différentes, aucune possibilité de créer une expérience multiroom en combinant des enceintes existantes qu’elles soient récentes ou anciennes (dont certaines sont de qualité bien supérieure aux enceintes sans fil actuelles).\n
\n \n problématique\n \n
\n Comment créer une expérience multiroom sonore en reliant différentes enceintes dans un même espace ?\n
\n \n invention\n \n
\n Création un protocole de communication entre des enceintes de différentes marques afin de créer une expérience multiroom et synchroniser ces dernières.\n
\n \n notre parti pris\n \n
\n L’idée générale est de ré-imaginer une expérience d’écoute audio multiroom, de manière ouverte (non liée à une marque d’équipement audio) et légère (pas de mise en place\n compliquée, de câblages ou de besoin pour des répéteurs). Ainsi, plutôt que de recréer un nouveau système propriétaire, des modules viennent se greffer aux enceintes de différentes marques. On peut diffuser en un clic un son sur un ensemble de téléphones, ordinateurs et enceintes à l’aide d’un module- de manière synchronisée.\n
\n\n","processus":"\n\n Depuis son invention dans les années 1870 (le brevet le plus proche de sa forme actuelle remonte à 1901 et est attribué à Henry P. Clausen, bien que l’usage ait été documenté avant cette date), le Jack est la connectique qui nous est la plus familière. Son ubiquité est sans doute due à la récupération par différents industriels de son brevet tombé dans le domaine public, lui conférant le statut de connectique libre de droit (tout comme la version 3.5mm stéréo que nous connaissons tous, introduite par Sony en 1964).\n Cet exemple nous permet d’introduire le rapport complexe entre dépôt de brevet, invention libre de droit et diffusion de la technologie. En effet, deux stratégies s’opposent : le système propriétaire et l'interopérabilité -souvent par des systèmes ouverts ou des systèmes déposés proposant des licences facilement accessibles -.\n\n\n\n I/ Systèmes propriétaires : brevets et licences\n\n\n Si les rois d’Ancien Régime pouvaient accorder des protections pour des innovations sous forme de lettres patentes, les “brevets d’invention” dans leur forme moderne ont fait leur apparition en droit français au moment de la Révolution dans un souci de diffusion du progrès technique, mais aussi de protection vis à vis du dépositaire. Ils s’imposent rapidement comme une institution clé au moment de la révolution industrielle en assurant aux inventeurs le monopole d’exploitation de leur invention durant vingt ans. Le nombre de brevets a connu un développement exponentiel depuis la fin des années 1990 en particulier aux Etats-unis où seul le critère de la nouveauté est retenu et où l'organisme référent, l’USPTO (United States Patent and Trademark Office), accepte la quasi totalité des dépôts car son financement en dépend et laisse ensuite au juge la responsabilité de trancher un éventuel litige. Les acteurs économique ont développé une réelle « économie immatérielle », avec des bourses de brevets et autres fonds d’investissement en brevets, allant jusqu’à en faire un objet spéculatif autonome. La propriété industrielle n’étant plus considérée comme un investissement nécessaire, mais comme un outil concurrentiel, les enjeux du dépôt de brevet pour une entreprise sont multiples (cf le schéma ci-dessous) :\n\n\n\n Mais la corrélation du succès économique d’une invention et son dépôt de brevet n’est pas totalement prouvée. On peut ainsi penser au Velcro, breveté en 1958, expiré en 1978, qui a finalement connu son succès dans les années 1980, par la compagnie Velcro elle-même.\n\n\n Certaines entreprises peuvent aussi faire le choix de ne pas entrer dans ce système de dépôt de brevet pour garder le secret de leur invention. Il s’agit notamment de la stratégie de Coca-cola, qui conserve la recette de son célèbre soda dans le coffre d’une banque d’Atlanta depuis des décennies (la première version de la boisson a elle bien fait l’objet d’un dépôt de brevet mais ce dernier n’est pas exploitable en raison de la présence de coca).\n\n\n Plus loin encore, l’école «négationniste » considère, dans le prolongement des doctrines de Proudhon et Walras, que la propriété intellectuelle constitue une restriction infondée du domaine publique (Daniel Cohen) ; La promotion du logiciel « libre » s’inscrit dans cette tendance. A noter que certaines licences de logiciels sont dites “open source” quand elles respectent les critères précisément établis par l'Open Source Initiative qui induisent la possibilité de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés.\n Des sociétés traditionnelles ont parfois des stratégies proches pour permettre une innovation plus ouverte sur un dispositif. INTEL, un des premiers déposants mondiaux de brevets qui en même temps accorde des licences libres et gratuites sur certaines technologies brevetées (Bus AGP par exemple).\n\n\n\n II/ Interopérabilité VS Système propriétaire\n\n\n La multiplication du dépôt de brevet a ainsi conduit les industriels à envisager les brevets comme un atout offensif ou défensif, une arme légale – voire un outil spéculatif - très éloignés de l’idéal des Lumières. \n Dans le secteur des TIC, cette situation a même abouti en 2011 à une situation de blocage quand les grandes entreprises High-tech Samsung et Apple sont entrées dans une guerre des brevets. Dans la continuité de cette course à “l'exclusivité intellectuelle”, de multiples acteurs choisissent de développer des solutions propriétaires, mais avec une absence de volonté claire de licencier ou alors la diffusion de licences relativement restrictives (que ce soit Sonos totalement fermé, mais aussi Airplay avec l’absence d’implémentation logicielle cross-platform ou bien chromecast et son intégration complète à chrome). \n Dans le secteur plus précis de la diffusion d’audio, on observe par exemple une volonté de corréler l’envoi du fichier et le support d’écoute. Cette stratégie de lock-in à pour but de permettre l’implémentation de DRM (gestion numérique des droits).\n\n\n Le vrai antagonisme ne réside donc pas dans l’opposition entre dépôt ou non dépôt de brevet, mais bien entre stratégie de développement de système propriétaire fermé et stratégie d'interopérabilité (qui peut être définie comme la capacité d’un système informatique à fonctionner avec d’autres produits ou systèmes informatiques, sans restriction d’accès ou de mise en œuvre). \n Dans le secteur de l’audio, le MP3 est un exemple frappant de cette problématique entre choix d'ouverture ou d’un système fermé. Encore aujourd’hui il est difficile de dire qui était le propriétaire des brevets de cette technologie, même si elle a été développée sur les bases des travaux du Fraunhoffer Institute. Des années 90 aux années 2010, son utilisation a été un terrain miné par de multiples procès, malgré la volonté affichée de licencier cette technologie par ses ayant droit putatifs. Il n’est ainsi pas étonnant que son adoption massive soit liée au partage de fichier entre internautes peu regardant des questions de licence. \n On peut alors apprécier la démarche de Bluetooth, qui cherche à unifier les connexions entre appareils électroniques en supprimant les liaisons filaires, à la manière de Harald Bluetooth à l’origine de l’unification de plusieurs provinces scandinaves au Xème siècle. Il est par contre notable que son protocole comme son débit le disqualifie pour toute réelle écoute de musique. Soulignons ainsi le travail de la start-up Tempow qui a mis en place un composant logiciel qui modifie l’usage du bluetooth d’un Smartphone et permet une synchronisation d’enceintes de marques différentes en Bluetooth.\n\n\n\n III/ BeTheSound : création d’une norme d’écoute commune\n\n\n C’est finalement le cœur et la problématique du projet BeTheSound : comment assurer dans les années à venir un standard ubiquitaire comme le jack ?\n\n\n BeTheSound permet ainsi de créer une expérience d’écoute multiroom en s’affranchissant des systèmes propriétaires grâce à l’installation de modules sur les enceintes présentes dans un même espace au profit de leur interopérabilité. Le dispositif est alors extrêmement évolutif, assez peu gourmand en bande passante et léger à déployer. Celui-ci repose sur une architecture WIFI meshée et des algorithmes statistiques permettant de synchroniser aux mieux les enceintes.\n\n\n On peut ainsi diffuser en “un clic” un son sur un ensemble de téléphones, ordinateurs et enceintes de manière synchronisée, sacré Jack !\n\n","date":"2015","phases":"\n\t\t \n\t\t2015 : Développement d’un prototype d’enceintes et d’un protocole webRTC de connexion entre enceintes (Prix de l’innovation de Centrale Paris)\n\t\t \n\t\t2016 : Développement d’un prototype d’un “stick” se branchant aux enceintes actives existantes. (Prix de l’innovation de Polytechnique, prix “Be The Future of Sound de la SATT Lutech”)\n\t\t \n\t\t2017 : On collabore avec Tempow qui travaillaient sur le protocole bluetooth et qui se sont fait racheter par google\n\t\t \n\t\t","nature":"Projet interne Seed Up","techno":"Réseau Mesh, WebRTC, Web Audio API","previewText":"Une expérience audio multiroom"},{"id":6,"isClient":false,"client":"{LUPIO}","type":"PROJET SEEDUP","title":"Comment créer des histoires immersives ?","imagePreview":"/common/images/projects/lampemagique/lampemagique.png","context":"\n\n \n contexte\n \n
\n Il est de plus en plus difficile de rivaliser avec les écrans à l’heure de l’histoire du soir.\n \nMais où est la magie ? Où est l'imagination ? Que devient le rituel familial du soir ?\n\n
\n \n problématique\n \n
\nComment ré-enchanter l’histoire du soir ?\n
\n \n invention\n \n
\n> Un objet : une lampe-projecteur avec micro intégré \n> Un algorithme de reconnaissance de la parole associé à un système de génération de scènes animées.\n\n
\n\n\n\n\n\n\n","processus":"\n\nL'Importance des Histoires Lues par les Parents le Soir\n\n\nDans un monde où la technologie et les écrans prennent une place prépondérante, la tradition ancestrale de lire des histoires aux enfants le soir conserve une valeur inestimable. Ce moment privilégié entre parents et enfants est bien plus qu'une simple activité de détente avant le coucher ; il joue un rôle crucial dans le développement émotionnel, cognitif et social de l'enfant. Cet article explore les multiples avantages de cette pratique.\n\n\n
\nRenforcement des Liens Affectifs\n
\n\nLa lecture partagée crée un moment de proximité et de complicité entre l'enfant et le parent, favorisant un sentiment de sécurité et d'appartenance. Ces moments précieux renforcent les liens affectifs et offrent un espace sécurisant où l'enfant peut exprimer ses pensées et ses émotions.\n\n\n
\nDéveloppement du Langage et de la Lecture\n
\n\nL'exposition régulière aux livres dès le plus jeune âge augmente le vocabulaire de l'enfant, affine sa compréhension du langage et stimule son intérêt pour la lecture. Entendre des histoires enrichit également sa capacité à comprendre des structures narratives complexes, ce qui est fondamental pour sa réussite scolaire future.\n\n\n
\nStimulation de l'Imagination et de la Créativité\n
\n\nLes histoires ouvrent la porte à des mondes imaginaires, incitant les enfants à visualiser des personnages, des lieux et des événements au-delà de leur expérience directe. Cette stimulation de l'imagination est un moteur essentiel pour le développement de la créativité et de la pensée critique.\n\n\n
\nÉducation Émotionnelle et Sociale\n
\n\nLes récits offrent une multitude de situations permettant aux enfants d'explorer diverses émotions et comportements sociaux par procuration. En discutant des actions des personnages et des conséquences de ces actions, les parents peuvent guider leurs enfants dans l'apprentissage de valeurs importantes comme l'empathie, la justice et la résilience.\n\n\n
\nRoutine Apaisante avant le Coucher\n
\n\nLa lecture d'histoires crée une routine calme et prévisible qui aide l'enfant à se détendre et à se préparer au sommeil. Ce rituel contribue à une meilleure qualité de sommeil, essentielle à la santé et au bien-être de l'enfant.\n\n\n
\nEvite les écrans\n
\n\nL'un des effets les plus documentés de l'exposition excessive aux écrans est la perturbation du sommeil. La lumière bleue émise par les écrans peut interférer avec la production de mélatonine, l'hormone régulant le sommeil, rendant l'endormissement plus difficile. Un sommeil de mauvaise qualité ou insuffisant peut avoir des répercussions sérieuses sur la santé mentale et physique des enfants, affectant leur capacité d'apprentissage, leur humeur et leur système immunitaire. \n\n","date":"2020","phases":"\n\t\t \n\t\t2020 : Début de la R&D avec une approche de modélisation 3D utilisant un système développé en interne, permettant de composer de nouveaux modèles 3D à partir d'autres existants. Discussions avec Philippe Starck (design de lampe et direction artistique) et Disney.\n\t\t \n\t\t2023 : Changement de paradigme technologique avec les Transformers et la génération d’images et leur animation possible","nature":"Projet interne Seed Up","techno":"3D, SpaCy, speech to text\n\t\t > Brevet : FR10249205B2 “Génération dynamique de séquences multimédias 3D à partir de l’analyse automatique d’un texte et de base de données de médias de type ontologique”\n\t\t","previewText":"Une expérience audio multiroom"},{"id":7,"isClient":true,"client":"{JTI}","type":"PROJET CLIENT","title":"Rétro-engineering et contrefaçon de brevet","imagePreview":"/common/images/projects/jti/jti.png","context":"\n\n \n contexte\n \n
\n Un fabricant de cigarettes électronique suspecte un concurrent d’avoir contrefait son brevet, et de ne pas avoir de\n système d’identification de fin de cartouche ce qui peut affecter la santé du consommateur\n
\n \n \n","processus":"\n\nLe Cadre Légal du Rétro-Ingénierie: Entre Innovation et Protection des Droits\n\n\nLe rétro-ingénierie, ou reverse engineering, est une pratique qui consiste à analyser en détail la conception d'un produit pour en comprendre le fonctionnement, souvent dans le but de reproduire ou d'améliorer l'objet d'étude. Si cette pratique peut s'avérer cruciale pour l'innovation technologique et la compatibilité des produits, elle soulève également d'importantes questions juridiques liées à la propriété intellectuelle et à la concurrence. Cet article explore le cadre légal encadrant le rétro-ingénierie, mettant en lumière les équilibres délicats entre droits des créateurs et besoins de l'innovation.\n\n\n
\nPrincipes Généraux du Rétro-Ingénierie\n
\n\nLe rétro-ingénierie occupe une place ambivalente dans le droit international, avec des législations qui varient significativement d'un pays à l'autre. En général, le cadre légal cherche à trouver un équilibre entre, d'une part, la protection des inventions et créations originales et, d'autre part, la promotion de l'innovation et de la concurrence loyale.\n\n\n
\nDroits d'Auteur et Brevets\n
\n\nDans de nombreux systèmes juridiques, le rétro-ingénierie de logiciels ou de produits protégés par le droit d'auteur est restreint, sauf autorisation explicite de l'auteur. Cependant, certaines exceptions existent pour l'interopérabilité des logiciels, permettant ainsi le rétro-ingénierie à des fins de compatibilité.\n \nLes produits brevetés, quant à eux, sont protégés de manière à empêcher la reproduction ou l'utilisation de l'invention sans autorisation. Néanmoins, le rétro-ingénierie peut être autorisé à des fins d'analyse et de recherche, sous certaines conditions, pour encourager l'innovation et le développement de nouvelles technologies.\n\n\n
\nMarques Commerciales\n
\n\nLe rétro-ingénierie impliquant des produits portant des marques commerciales doit éviter toute violation de la marque, notamment la confusion des consommateurs quant à l'origine ou l'authenticité du produit. La reproduction de caractéristiques distinctives associées à une marque peut constituer une infraction.\n\n\n
\nExceptions et Limitations\n
\n\nLes législations nationales peuvent prévoir des exceptions au droit d'auteur et aux brevets pour le rétro-ingénierie, notamment à des fins d'enseignement, de recherche, d'analyse de sécurité, ou pour assurer la compatibilité entre logiciels. Ces exceptions varient d'un pays à l'autre et nécessitent souvent une analyse au cas par cas.\n\n\n
\nEnjeux Éthiques et Commerciaux\n
\n\nAu-delà des considérations légales, le rétro-ingénierie soulève des questions éthiques, notamment sur la frontière entre l'inspiration et la copie, l'accès aux technologies et le respect des investissements en recherche et développement. Les entreprises doivent naviguer avec prudence dans ces eaux troubles, en pesant les bénéfices de l'innovation ouverte contre les risques de violations des droits de propriété intellectuelle.\n\n\n\nConclusion\n\n\n\nLe cadre légal du rétro-ingénierie est complexe et en constante évolution, reflétant la tension entre la nécessité de protéger les créations originales et le désir de favoriser l'innovation technologique. Les entreprises et les individus engagés dans le rétro-ingénierie doivent se tenir informés des développements législatifs dans leurs juridictions et consulter des experts en propriété intellectuelle pour naviguer efficacement dans ce domaine juridique complexe. En fin de compte, une compréhension nuancée des lois et des principes éthiques peut permettre de tirer parti du rétro-ingénierie comme d'un puissant moteur d'innovation, tout en respectant les droits des créateurs.\n\n\n","date":"2020","phases":"Retro-engineering","nature":"Projet Client","techno":"Power MOSFETs, Thermocouple , Thermocouple amplifier, MSO oscilloscope / logic analyzer, Programmable power supply","previewText":""},{"id":8,"isClient":true,"client":"","type":"PROJET SEEDUP","title":"travaux sur wikipédia","imagePreview":"/common/images/projects/wiki/wiki.png","context":"\n\n \n contexte\n \n
\n Wikipédia est une source d’information dense qui fonctionne via un système d’indexation de documents comportant des éléments de connaissance sur un sujet. \n \n Le lien entre les différents éléments de connaissance a d’abord été un système de références formelles faites par un auteur ou une communauté entre différents documents (autres pages ou documents externes). En utilisant la Co-word analysis (Callon et al. 1986), ou encore la reconstruction temporelle et l’historique des modifications, il est possible de créer des cartes représentant l’espace des connaissances au et de créer des outils interactifs pour y naviguer (Chavalarias and Cointet 2013; Wang et al. 2014; Rule et al. 2015).\n
\n \n\n \n problématique\n \n
Comment améliorer l’accès à un “élément de connaissance” donné ?
\n \n \n INTERVENTION\n \n
L’utilisation des données d’historique des modifications d’une page, et celle de la participation des auteurs permet de mettre un score de légitimité aux auteurs et aux phrases.
\n \n
On peut aussi mesurer la difficulté des différents passages en terme de niveau de langue en utilisant le système de scoring d’U31 (cf. projet U31 / lien).
\n
L’objectif est maintenant de proposer une analyse discursive et une représentation schématique de celles-ci. Cependant, l'idée d’une algèbre des connaissances : des liens logiques entre des particules de connaissances a été théorisé par Leibniz mais jamais réalisé.
\n
Pourtant différentes méthodes permettent de représenter l’organisation du discours, c’est-à-dire la répartition de son contenu en parties, sous-parties, etc., et les liens établis entre elles. C’est le cas de la SDRT, initialement proposée par Asher & Lascarides (1993), construite au départ comme une extension de la Discourse Representation Theory (DRT, Kamp, 1981). Elle propose de représenter à la fois le contenu sémantique du discours, ou contenu de l’information (Information Content), et la structure globale (macro-structure) du discours ou emballage de l’information (Information Packaging) sous forme de graphes.
\n \n
Ainsi une approche systémique permettrait de transformer chaque document en une représentation schématique. {EN COURS}.
\n
Est-il possible de créer le graph des graph et relier non pas des documents mais des éléments de connaissances entre eux, le tout avec une représentation des liens logiques entre eux ? {EN COURS}
\n \n\n\n","processus":"\n\nWikipédia, la Révolution Encyclopédique: Au-delà des Frontières de la Connaissance Traditionnelle\n\n\nDepuis sa création en 2001 par Jimmy Wales et Larry Sanger, Wikipédia a bouleversé l'univers des encyclopédies. En tant que plus grande encyclopédie en ligne gratuite, elle a initié une révolution dans la manière dont nous accédons et contribuons à la connaissance. Ce succès sans précédent repose sur un modèle collaboratif ouvert, permettant à toute personne possédant une connexion internet de modifier et d'améliorer son contenu.\n\n\n
\nUne Plateforme Collaborative Unique\n
\n\nWikipédia se distingue par son caractère collaboratif et démocratique. Contrairement aux encyclopédies traditionnelles, qui s'appuient sur des experts pour la rédaction de leurs articles, Wikipédia permet à chacun de contribuer, reflétant une diversité de perspectives et de connaissances. Cette approche a été analysée dans l'étude de Benjamin Mako Hill et Aaron Shaw, \"The Wikipedia Gender Gap Revisited: Characterizing Survey Response Bias with Propensity Score Estimation\", publiée dans PLOS ONE, qui examine les dynamiques de contribution et la représentativité au sein de la plateforme.\n\n\n
\nQualité et Fiabilité du Contenu\n
\n\nLa fiabilité de Wikipédia a été un sujet de débat académique intense. Une étude marquante parue dans la revue Nature en 2005 comparait la précision des articles scientifiques de Wikipédia à ceux de l'Encyclopædia Britannica, concluant à une qualité comparable entre les deux sources. Bien que cette conclusion ait été contestée, elle a mis en évidence le potentiel du modèle collaboratif de Wikipédia pour produire des informations exactes et à jour. Cependant, la nécessité d'une vigilance constante contre le vandalisme et les inexactitudes reste primordiale, comme le soulignent Fichman et Dainoff dans leur étude \"Wikipedia: Challenges and Opportunities\" (2014) dans le \"Information Science Reference\".\n\n\n
\nImpact sur l'Éducation et la Recherche\n
\n\nL'accessibilité et la richesse de Wikipédia en font une ressource précieuse pour l'éducation et la recherche. Une étude de 2016 par Selwyn et Gorard, publiée dans \"Learning, Media and Technology\", a exploré l'utilisation de Wikipédia dans les contextes éducatifs, révélant son rôle croissant comme outil pédagogique et source de recherche initiale pour les étudiants et les enseignants. Cette utilisation soulève des questions sur la manière d'évaluer la crédibilité des sources et d'encourager une approche critique de l'information en ligne.\n\n\n
\nDéfis et Perspectives\n
\n\nMalgré son succès, Wikipédia fait face à des défis significatifs, notamment en termes de biais de représentation et de diversité des contributeurs. Des études, comme celle de Hill et Shaw précédemment mentionnée, soulignent la sous-représentation de certains groupes, tels que les femmes, dans le processus de rédaction, ce qui peut influencer le contenu et la couverture des sujets. De plus, la lutte contre la désinformation et le maintien de standards élevés de fiabilité demeurent des enjeux cruciaux.\n \nWikipédia représente ainsi une révolution encyclopédique, non seulement par son modèle collaboratif ouvert mais aussi par son impact sur la diffusion de la connaissance. En transformant les utilisateurs en contributeurs, elle a démocratisé l'accès à l'information et stimulé une participation active à la construction du savoir. Toutefois, les défis liés à la qualité, à la fiabilité et à la représentativité demeurent, nécessitant une réflexion continue sur les meilleures pratiques pour exploiter pleinement le potentiel de cette ressource inestimable. En regardant vers l'avenir, la recherche et les discussions académiques joueront un rôle clé dans l'évolution de Wikipédia et dans sa capacité à continuer à servir de pilier de la connaissance accessible à tous.\n\n\n\n","date":"2023","phases":"Retro-engineering","nature":"Projet Client","techno":"Word embeddings, Proximité vectorielle , RAG, Transformers, Wikipédia graph, SDRT, ","previewText":""},{"id":9,"isClient":true,"client":"{...}","type":"PROJET SEEDUP","title":"Autres projets","context":"\n\n
\n
Détection d’alzheimer par machine-learning sur les données d’électricité/gaz/eau
\n
Détection fraudes à l’assurance par machine learning
\n
Détection du rendement de raffineries par reconnaissance d’images à partir de clichés satellitaires
\n
Autonomisation d’une flotte de robots
\n
Rapport sur la consommation énergétique du numérique et état de l’art des data-centers
\n
Etat de l’art sur la réalité augmentée
\n
Contributions à des projets open-sources
\n
Collaborations avec des artistes
\n
Etat de l’art sur l’analyse automatique de combinaisons de molécules
\n
etc.
\n
\n\n","processus":"\n\n Notre Hacker House rassemble des passionnés de nouvelles technologies. Qu’ils soient chercheurs, ingénieurs, développeurs, hackers, makers, designers, artistes, artisans, tous partagent l’envie d’inventer et de repousser les frontières technologiques.\n\n\n Nous vivons et travaillons tous ensemble dans notre Hacker House, un Hangar réaménagé avec un fablab pour pouvoir tout concevoir. \n\n\n Nous répartissons notre temps entre des collaborations avec les départements R&D de grands groupes {Bureau d’étude et de R&D} et des startups développées en interne {Start-up studio}. \n\n\n {DASSAULT}-{DECATHLON}-{INSTITUT CURIE}-{etc.} ont fait appel à nous pour non connaissances technologiques et scientifiques, ainsi que notre capacité à faire des inventions de rupture. \n\n\n {MOORE}-{BeTheSound}-{U31.IO}-{Notably}, sont des sociétés qui ont vu le jour sous la grande verrière de notre hangar de Saint-Cloud. \n\n\t\t \t \t \t\t\n\n N’hésitez pas à aller dans l’onglet “>Projets” (mettre lien) pour découvrir nos projets !\n\n\n","date":"2023","phases":"Retro-engineering","nature":"Projet Client","techno":"...","previewText":""}];
SEED.UP
Nous sommes une Hacker house : une maison-atelier qui réunit des passionnés de nouvelles technologies sous le statut de  salarié-entrepreneur.Nous accompagnons de grands groupes comme {THALÈS}-{HUAWEI}-{HERMÈS} dans leur quête de rupture et concevons nos propres inventions telles que {MOORE}, smartphone à stockage illimité et {BeTheSound}, des modules qui permettent la synchronisation sans fil de différentes enceintes. Nous sommes une Hacker house : une maison-atelier qui réunit des passionnés de nouvelles technologies sous le statut de salarié-entrepreneur.Nous accompagnons de grands groupes comme {THALÈS}-{HUAWEI}-{HERMÈS} dans leur quête de rupture et concevons nos propres inventions telles que {MOORE}, smartphone à stockage illimité et {BeTheSound}, des modules qui permettent la synchronisation sans fil de différentes enceintes. Nous sommes une Hacker house : une maison-atelier qui réunit des passionnés de nouvelles technologies sous le statut de salarié-entrepreneur.Nous accompagnons de grands groupes comme {THALÈS}-{HUAWEI}-{HERMÈS} dans leur quête de rupture et concevons nos propres inventions telles que {MOORE}, smartphone à stockage illimité et {BeTheSound}, des modules qui permettent la synchronisation sans fil de différentes enceintes. Nous sommes une Hacker house : une maison-atelier qui réunit des passionnés de nouvelles technologies sous le statut de salarié-entrepreneur.Nous accompagnons de grands groupes comme {THALÈS}-{HUAWEI}-{HERMÈS} dans leur quête de rupture et concevons nos propres inventions telles que {MOORE}, smartphone à stockage illimité et {BeTheSound}, des modules qui permettent la synchronisation sans fil de différentes enceintes.
Nous sommes une Hacker house : une maison-atelier qui réunit des passionnés de nouvelles technologies sous le statut de salarié-entrepreneur.Nous accompagnons de grands groupes comme {THALÈS}-{HUAWEI}-{HERMÈS} dans leur quête de rupture et concevons nos propres inventions telles que {MOORE}, smartphone à stockage illimité et {BeTheSound}, des modules qui permettent la synchronisation sans fil de différentes enceintes.
hacker house
Ingénieurs, designers et développeurs - ou autres passionnés de nouvelles technologies - nous partageons l’envie d’inventer. Le modèle de société que nous construisons au sein de la Hacker House de Seed-Up, notamment par l’instauration du statut de salarié-entrepreneur, nous permet de faire de cette aspiration notre métier.
Nous répartissons notre temps entre des collaborations avec de grands groupes et des projets développés en interne. Cette diversité nous permet d’éprouver les exigences de l’entreprise, tout en maintenant un lien direct avec le marché, et d'approfondir en parallèle nos expertises techniques et nos intuitions.
A terme, les sociétés-projet développées en interne ont vocation à s’émanciper de Seed Up. Les parts sont alors réparties entre les fondateurs, qui deviennent associés actifs, Seed Up et le PDG nouvellement recruté. La seule règle imposée à la société-projet étant sa capacité à assurer une continuité de salaire.
Total, Thales, Sanofi, Hermès ou encore le CNRS ont fait appel à nous pour des inventions de rupture, et des sociétés-projets tels que MOORE, smartphone à stockage illimité, ont déjà vu le jour sous la grande verrière de notre hangar de Saint-Cloud.
projets
Comment écrire pour être compris par le plus grand nombre ?PROJET SEEDUP={U31}
Comment écrire pour être compris par le plus grand nombre ?Projet interne Seed Up,
<br/>2021 : Premier POC, un outil d’identification des difficultés d’un texte
<br/>2022 : Editeur V1. Collaboration réussie avec des organisations publiques et privées (Malakoff humanis, Gouvernement, Croix Rouge, etc.)
<br/>2023 : Editeur V2, avec plugins pour Microsoft Office, algorithme de suggestions automatiques propriétaire, et fonctionnalités d’accessibilité, d’éco-conception et d’inclusion. Accélération par la Croix Rouge et participation à des évolutions normatives (W3C, ISO, CE, État).
<br/>
Comment combiner la simplicité et la liberté de l'écriture manuscrite avec les fonctionnalités dynamiques de la technologie numérique ?PROJET SEEDUP={NOTABLY}
Comment combiner la simplicité et la liberté de l'écriture manuscrite avec les fonctionnalités dynamiques de la technologie numérique ?Projet interne Seed Up,
<br/>2023 : Prototype fonctionnel
<br/>2024 : Discussion avec des grandes marques de stylo
<br/>
Comment prévoir et détecter les risques sur les chantiers ?PROJET CLIENT=PROJET CLIENT
Comment prévoir et détecter les risques sur les chantiers ?Mission client, Hardware, Idéation, Prototype, Tests, Déploiement
Comment s’émanciper de la limite de stockage physique des devices ?PROJET SEEDUP={MOORE}
Comment s’émanciper de la limite de stockage physique des devices ?Projet Interne,
<br/>2017 : développement de la clé USB Moore (Top 10 des inventions du CES selon Der Spiegel)
<br/>2018 : développement de Moore sur mobile (Y Combinator et Mobile World Congress)
<br/>2019 : partenariats stratégiques et intégration chez les constructeurs (KaiOS, Orange, TCL, Crosscall, etc.)
<br/>2020 : revente de la société
Comment créer une expérience multiroom sonore en reliant différentes enceintes dans un même espace ?PROJET SEEDUP={BE THE SOUND}
Comment créer une expérience multiroom sonore en reliant différentes enceintes dans un même espace ?Projet interne Seed Up,
<br/>
2015 : Développement d’un prototype d’enceintes et d’un protocole webRTC de connexion entre enceintes (Prix de l’innovation de Centrale Paris)
<br/>
2016 : Développement d’un prototype d’un “stick” se branchant aux enceintes actives existantes. (Prix de l’innovation de Polytechnique, prix “Be The Future of Sound de la SATT Lutech”)
<br/>
2017 : On collabore avec Tempow qui travaillaient sur le protocole bluetooth et <a href="https://www.lesechos.fr/start-up/deals/tempow-la-nouvelle-start-up-rachetee-par-google-1364854" target="_blank">qui se sont fait racheter par google</a>
<br/>
Comment créer des histoires immersives ?PROJET SEEDUP={LUPIO}
Comment créer des histoires immersives ?Projet interne Seed Up,
<br/>
2020 : Début de la R&D avec une approche de modélisation 3D utilisant un système développé en interne, permettant de composer de nouveaux modèles 3D à partir d'autres existants. Discussions avec Philippe Starck (design de lampe et direction artistique) et Disney.
<br/>
2023 : Changement de paradigme technologique avec les Transformers et la génération d’images et leur animation possible
Rétro-engineering et contrefaçon de brevetPROJET CLIENT={JTI}
Rétro-engineering et contrefaçon de brevetProjet Client, Retro-engineering
travaux sur wikipédiaPROJET SEEDUP=
travaux sur wikipédiaProjet Client, Retro-engineering
Autres projetsPROJET SEEDUP={...}
Autres projetsProjet Client, Retro-engineering
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